laura michelino & marthe hauser

17 août 2011

profiler


W : lauraqua enregistre la ville imprimée par l’eau et sur chaque détail l'œil s’étend et étend la dimension entassée de l’entropie grafico-sonore de la ville. J’explique : dessin peinture gravure écrite sur le papier l’image de são paulo vue et revue par les yeux qui ont traversé le temps et s’imprime sur la toile. gravures. aquagravures. processus artisanal comme à faire de la nature, machine, du doigt, outil, de l’oeil, élément, composition de scène comme au cinéma par sa sœur aînée, la photographie, toujours son élément de composition de scène le plus élémentaire. toujours composition scénique. l'œil : un j’élément de ciné-même ? Composition triadique du tableau. lumière, ombre, couleur. reflets sur paysages peints, non statiques, schéma tactique de composition d’horizon jusqu’à perte de vue. jamais le simple coup d'œil, paysage anti-romantique, contemplation anti-amène, métaschémas de/en, moi/soi-même.
 
 walter vetor / riverão

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